Salut
Je vous fait part de la situation de dictature et despotisme que vit la population de la sous prefecture de Ndjamena Fara créés par les autorités administratives de hadjer lamis.
En effet, Ndjamena fara a beneficié d'un projet de la part du ministere de l'agriculture pour plusieurs centaines des milliards avec pour objet d'amenager 10,000 hectares des terres agricoles. Depuis l'installation de ce projet, des terrains, maisons, champs agricoles et aussi ranch privés sont inclus dans l'espace occupé par le projet , executé par Satom. Des dizaines des carrières à ciels ouverts sont installées prés des villages. Un comité villageois a été crée
par la population dont les terres et champs sont spoliés mais voilà que l'administration, conduite par le préfet de Massaguet actuel et aussi le sous-prefet de Ndjamena fara, Mr oumar koki adili, natif de la sous préfecture, a dissout le comité composé des villageois et s'est
emparé du comité, dont le préfet est président, le sous - préfet son adjoint et les chefs des services comme membres du comité, sans représenter les boulamas, les propritaires terriens et les autres ressortissants locales.
Les habitants sont divisés par le sous -préfet Oumar koki qui, à chaqueréunion, tient des propos tribalistes envers les autochtones en les accusant qu'ils n'aimaient pas les Goranes et Zaghawa et que son objectif est de leur garantir des parcelles dans le projet, le sous-préfet tient des propos tribalistes envers la population avec des réunions régulières régroupant
les boulamas et les chefs des terres, les menaçant de les destituer s'ils réclamaient des indemnités sur les carrières selon les coutumes qui est de 1000 F par voyage dont Satom a promi aux villagois, des menaces d'emprisonnement et transfert à la maison d'arrêt de
Massaguet,et au déla Koro Tora, et ceci avec la complicité même du coordinateur de Ministère de l'agriculture.
Les maisons et champs privés sont recensés par ce coordinateur qui aarrondit de plusieurs dizaines et attendait a ce qu'ils soient indemnisés, ces maisons appartenaient aux Gouranes et Zaghawas , et pour les autochtones, rien.
Si oui veuillez vous déplacer sur place pour constater vous même la situation
publier une communiquer pour cela afin que la justice soit faite!!!
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BP 1020 Ndjamena - Tchad
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